Sortie de workshop online du Conseil scientifique de Further Legal Coaching et c'est décidé, il est temps de dire stop à l'inquiétude excessive ressentie parfois du fait du COVID-19, afin qu’elle ne devienne pas en soi, une pandémie de santé mentale.
Bien sûr, les craintes et les questions sur l'avenir peuvent nous tenir éveillés la nuit, nous occuper pour le présent pendant toute la journée de travail et rendre difficile la recherche de solutions immédiates.
Pour cela, et même si notre réflexe est de nous rassurer par une meilleure connaissance de l’état du sujet, et un strict respect des mesures sanitaires, il est conseillé de limiter le temps que nous passons à chercher ou recevoir de l’information au sujet du COVID-19. Comme entrés dans une nouvelle phase, nos coachés en prennent pleinement conscience.
En effet, une surexposition peut contribuer à augmenter nos réactions de stress, d’anxiété ou de déprime, affecter notre motivation et notre énergie pour prendre soin de nous et de nos proches.
Rappelons-nous que la peur, le stress et l’anxiété sont des états normaux de notre comportement face à un danger, à l’inconnu et à l’incertitude. Inutile donc de s’inquiéter dès lors que ces émotions, ces sentiments nous traversent dans un premier temps. Acceptons-les.
La peur, le stress ou l’anxieté peuvent également être utiles car ils sont une réponse naturelle à ce qui se passe dans notre environnement. La clé est de canaliser ces émotions pour nous aider à agir de manière appropriée, plutôt que de rester coincés dans des cycles de rumination.
Nous devons donc parvenir à une mesure de paix et de qualité de vie dans les semaines et les mois à venir. Pour cela il faut des pistes personnelles pour se sentir mieux et commencer par agir sur ce qui dépend de soi.
Il est important de prendre soin de notre énergie et de rester vigilants sur nos évolutions et sur celles de nos proches sur le plan physique, moral et comportemental.
Pour la plupart, nous possédons les ressources et les facultés pour nous adapter à ce type de situation, mais s’adapter est-il suffisant pour préparer l'après ?
Un temps de discussion et d’écoute reste le meilleur moyen de partager ses pensées, sortir nos émotions, les mettre à jour, les envisager sous toutes leurs formes… et leurs potentiels futurs.
Et si nous nous offrions un temps de respiration mentale ? Où cela nous mènerait-il ? Quel impact cela aurait-il ? Qu’en tirerions-nous ? Comment vos réflexions d'aujourd'hui deviendraient vos succès d'après...
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